L’optimisme, une compétence professionnelle

Super-pouvoir

Dans le contexte actuel, le mot optimisme sonne comme une mauvaise blague. Comme si la guerre, la crise et le réchauffement climatique étaient de bonnes nouvelles. Comme si on demandait à un dépressif d’être content de son sort. Allez, souris quoi, la vie est belle !

Pourtant, sans cette capacité à voir le côté positif des choses, comment pourrions-nous avancer dans le marasme ambiant ? Il faut bien admettre que notre vieil adage n’a pas pris une ride : l’espoir fait vivre. Alors peut-on devenir optimiste, et comment utiliser ce super-pouvoir en entreprise ?

Malheureusement, on revient de loin. Depuis des décennies, il semblerait que la France n’ait que deux mots à la bouche : « oui, mais… ». Vous aviez remarqué ? Elle fait d’ailleurs partie des pays les plus pessimistes, et 70 % des Français pensent que la situation nationale va empirer (Ipsos).

C’était sans compter sur le chercheur Martin Seligman, qui a prouvé que l’optimisme est une compétence que chacun peut acquérir avec un minimum d’entraînement. Inspirez, expirez, on va y arriver.

Aujourd’hui, Internet regorge de conseils pour devenir une meilleure version de soi-même en pratiquant la psychologie positive au quotidien. Mais qu’en est-il dans le monde impitoyable du business ?

En menant une étude sur une équipe de commerciaux chargés de faire du démarchage téléphonique, Seligman a démontré que les plus optimistes obtenaient de meilleurs résultats. Face aux échecs répétés, ils ne se décourageaient pas. Ils faisaient preuve de résilience et de ténacité, jusqu’à atteindre leurs objectifs. Derrière ce constat, on devine que leur super-pouvoir reposait sur leur capacité à ne pas s’identifier à leurs échecs et à en attribuer la cause à des éléments extérieurs, indépendants de leur volonté. Aussi, les recruteurs ont-ils commencé à s’intéresser de près à cette compétence.

Si l’on en croit le philosophe Alain, « Le pessimisme est d’humeur ; l’optimisme est de volonté ». Il s’agirait donc d’une discipline mentale à adopter.

Chez Zébra, nous constatons au quotidien que cet état d’esprit permet de faire aboutir les projets beaucoup plus facilement. C’est pourquoi nous avons choisi de le mettre au cœur de notre culture d’entreprise. C’est ainsi que nous vous avons concocté un petit guide de communication positive made in Zébra, parce que l’optimisme, c’est contagieux.

Comment pratiquer la communication positive auprès de vos clients ?

  • L’écoute active et l’anticipation des besoins : pour qu’une collaboration commence et se poursuive bien, il faut d’abord comprendre les besoins précis du client, son environnement et les enjeux auxquels il doit répondre. Si vous ne l’écoutez que d’une oreille tout en parcourant vos e-mails, les malentendus et les contretemps seront votre lot quotidien. Pratiquer l’écoute active, c’est poser des questions, rebondir, relancer, demander des précisions, creuser quand c’est confus. Cela démontre que vous accordez une importance primordiale à votre interlocuteur. Cette concentration dans l’échange vous permettra également de mieux le cerner pour personnaliser votre offre et anticiper ses besoins ; un point capital dans toute relation. En effet, apporter des solutions aux problématiques futures fera de vous un précieux allié.
  • La réactivité : stop à la procrastination. Les clients ont toujours besoin d’être confortés dans l’idée que vous êtes un partenaire sûr, présent et motivé. Réagissez vite, avant que quelqu’un d’autre ne le fasse à votre place. Secouez l’optimiste qui sommeille en vous.
  • La transparence : ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, disait un autre vieil adage. Informez régulièrement vos clients des étapes de travail et des éventuels obstacles rencontrés sur le chemin. Même si certaines vérités ne sont pas toujours agréables à dire, elles renforceront la confiance mutuelle et permettront d’éviter les mauvaises surprises. Tout optimiste qui se respecte vous dirait que l’important, c’est de se montrer fiable et rassurant, même dans la tempête.
  • Les retours : lors des réunions et des briefs, chacun sa méthode… mais nous vous conseillons tout de même de prendre des notes ou d’enregistrer les échanges. Cela vous permettra de faire des retours écrits en reformulant les demandes et en affinant votre plan d’action. Par la même occasion, vous pourrez aussi conseiller et informer vos clients sur les meilleures pratiques, les tendances et les innovations. D’autre part, n’hésitez pas à leur demander leur opinion sur votre collaboration. Un retour constructif vous permettra d’ajuster vos propositions, d’apprendre et d’améliorer la qualité de votre travail. Pensez aux commerciaux de Seligman, ne prenez rien personnellement !

Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à nous en faire part en commentaire afin que nous vous en proposions d’autres à ce sujet. Il y a encore tant à dire sur l’optimisme et la communication positive !

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